Diplomatie - Les grands dossiers n° 7
L’état des conflits 2012
Paris, Areion Group, 2012. 100 pages, 23 x 30 cm, broché.
L’état des conflits 2012
Paris, Areion Group, 2012. 100 pages, 23 x 30 cm, broché.
Les conflits n’ont plus de saison…
L’année 2011 a commencé par l’éclosion du printemps arabe et s’achève sur la généralisation à travers le monde d’un mouvement de contestation, quelques gouvernants autoritaires ayant été rayés des cadres au passage. Si des tensions entre les citoyens et leurs dirigeants étaient perceptibles quelques mois auparavant, l’émergence de la foule comme acteur susceptible de renverser des régimes n’avait pas été anticipée – ni chez les responsables politiques, ni chez les experts internationaux.
En ce début d’année 2012, nous voici face à des conflits qui s’installent dans la durée en Égypte, au Yémen, en Libye, en Syrie, etc.
À quel ennemi se fier ?
La chute impréparée de régimes – certes oppresseurs des libertés, mais laïcs – a ouvert la voie à des courants islamistes jusqu’alors considérés comme hostiles aux intérêts occidentaux. Hier comme aujourd’hui ennemis de l’Occident, des membres d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique ont pourtant agi comme des alliés objectifs de l’OTAN contre Mouammar Kadhafi. A contrario, le régime nord-coréen apparaît comme l’ennemi le plus fiable de l’année.
Des Anonymes sans territoire…
Sur fond de crise économique et d’atteinte à leurs acquis sociaux, les citoyens du Nord se sont rassemblés. L’ETA annonce la fin de la lutte armée, Wallons et Flamands s’entendent sur un nouveau gouvernement en Belgique tandis que les « Indignés » plantent leurs tentes au cœur des cités et devant Wall Street.
En 2011, les anonymes sans territoire mais en quête de liberté ont su aligner leurs arguments et se rendre crédibles, forçant la communauté des « responsables » politiques et économiques à communiquer – à défaut d’agir.
Commande 10,95€
L’année 2011 a commencé par l’éclosion du printemps arabe et s’achève sur la généralisation à travers le monde d’un mouvement de contestation, quelques gouvernants autoritaires ayant été rayés des cadres au passage. Si des tensions entre les citoyens et leurs dirigeants étaient perceptibles quelques mois auparavant, l’émergence de la foule comme acteur susceptible de renverser des régimes n’avait pas été anticipée – ni chez les responsables politiques, ni chez les experts internationaux.
En ce début d’année 2012, nous voici face à des conflits qui s’installent dans la durée en Égypte, au Yémen, en Libye, en Syrie, etc.
À quel ennemi se fier ?
La chute impréparée de régimes – certes oppresseurs des libertés, mais laïcs – a ouvert la voie à des courants islamistes jusqu’alors considérés comme hostiles aux intérêts occidentaux. Hier comme aujourd’hui ennemis de l’Occident, des membres d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique ont pourtant agi comme des alliés objectifs de l’OTAN contre Mouammar Kadhafi. A contrario, le régime nord-coréen apparaît comme l’ennemi le plus fiable de l’année.
Des Anonymes sans territoire…
Sur fond de crise économique et d’atteinte à leurs acquis sociaux, les citoyens du Nord se sont rassemblés. L’ETA annonce la fin de la lutte armée, Wallons et Flamands s’entendent sur un nouveau gouvernement en Belgique tandis que les « Indignés » plantent leurs tentes au cœur des cités et devant Wall Street.
En 2011, les anonymes sans territoire mais en quête de liberté ont su aligner leurs arguments et se rendre crédibles, forçant la communauté des « responsables » politiques et économiques à communiquer – à défaut d’agir.
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